La distance de chaque commune aux communes limitrophes est itinéraire, c’est-à-dire qu'elle représente la longueur du chemin conduisant d'un clocher à l'autre.
La latitude et la longitude sont extraites de la carte de Belgique au 80,000e dressée par Gérard, à moins d'observation contraire.
L'altitude est la hauteur du sol au-dessus du niveau moyen de la mer.
Les chiffres indiquant le nombre de ménages, de maisons ou de foyers, pour différentes époques, au moyen-âge sont empruntés à d'anciens Comptes des aides : ceux pour l'année 1686, à un grand travail concernant le duché de Brabant, exécuté par ordre des États de cette province.
La distance des hameaux et maisons isolées au centre de la commune est mesurée à vol d'oiseau.
Les noms placés entre parenthèses ont été fournis par les documents dont la date suit immédiatement ou par d'anciens auteurs.
Les renseignements statistiques sont extraits des recensements de 1846 et 1856.
Les terres exploitées par les cultivateurs de chaque commune changeant d'une année à l'autre et n'étant point toutes comprises dans les limites du territoire, le total des diverses cultures n'est point invariable et ne coïncide pas avec le chiffre de la contenance cadastrale.
On a compris sous ce titre les annales particulières des seigneuries et des grands domaines, afin de ne pas les mêler à ce qui concerne particulièrement l'histoire ou l'organisation de la commune entière.
Le mot relief, que son initiale r. remplace fréquemment, rappelle l'hommage qu'un seigneur devait à son suzerain, c'est-à-dire à celui de qui il tenait sa seigneurie en fief, lorsqu'il entrait en possession de ce fief, par héritage ou par acquisition. Il payait, en cette occasion, un véritable droit de mutation.
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